Archives mensuelles : juillet 2010

Le septième cercle, d’Andrea H. Japp

Présentation de l’éditeur :
Quatre heures du matin ! Ann se réveille en sursaut. Des sanglots l’étouffent… L’image de Clara Saragan s’impose jusque dans ses rêves… Jeune femme enceinte de sept mois. Abattue de deux balles dans la nuque. Elle finissait de boucler un reportage dont elle n’avait rien confié à son entourage.
Pourquoi cette obsession ? Et pourquoi Ann s’occuperait-elle de ce meurtre ? Elle n’est pas flic. Pas même une amie de Clara. Elle est une femme en état de choc. Son mari et son fils viennent de mourir dans un accident de voiture. Elle était au volant…
Depuis ce jour, Ann est hantée par l’image de Clara. Comme s’il y avait une urgence à savoir… Une urgence à agir…
Editeur : Librio noir
Année d’édition : 1999
Langue : Française
Nombre de pages : 93
Avis (très) personnel :
Tout d’abord, je suis désolée pour la taille de l’image, mais je n’ai pas réussi à trouver plus grand sur internet…
La principale protagoniste de cette histoire est une femme comme une autre. Elle s’appelle Ann Hawk. Et elle a perdu son époux Simon et son fils Ethan dans un accident de voiture. Voiture qu’elle conduisait malgré sa fatigue apparente.
Nous avons également un personnage qui aura de l’importance dans l’histoire, bien qu’il soit mort : Clara Saragan, une journaliste tuée, alors qu’elle était enceinte de sept mois.
J’ai trouvé l’histoire assez étrange. Le fait qu’Ann commence à s’intéresser à l’assassinat de Clara, parce qu’elle avait une incroyable douleur au moment où le présentateur télé en parle.
Le personnage d’Ana n’est pas assez approfondi à mon avis. Comme le reste des protagonistes. Et puis il reste pas mal de questions en suspens :
Comment Ana a-t-elle deviné l’identité du vrai coupable ?
Pourquoi y’a-t-il cette connexion avec Clara ?
Où est passé Richard Codrington, à la fin ?
Je pensais également que le docteur Martha Grey allait avoir un rôle plus important…
Je ne vais pas pour autant me laisser abattre. En effet, il semblerait que ce ne soit pas son meilleur livre. J’en lirai sûrement un autre de cet auteur. Si vous avez des titres, je veux bien ^^
Citation1 P14 :
« Rien n’est pire que la lâcheté. La lâcheté est le catalyseur de tout le reste. On ment par lâcheté, on trahit par lâcheté, on vole et on tue par lâcheté. »
Citation2 P49 :
« Au bout du compte, ma cocotte, tu est toujours seul face à toi-même et tu as intérêt à ce que l’image que te renvoie le miroir tous les matins soit aussi plaisante que possible, parce que la chirurgie de l’âme, ça n’existe pas. »
Nombre de livres lus : 17
Nombre de livres dans la PAL : 66

Natures mortes au Vatican, de Michèle Barrière

Présentation de l’éditeur :
Rome, automne 1570. On court les fêtes somptueuses des princes et des cardinaux. François, le héros de Meurtres à la pomme d’or, est à présent le secrétaire de Bartolomeo Scappi, le cuisiner personnel du pape.
Il l’aide à rédiger son Opera, un recueil de quelque mille recettes, toutes plus délicieuses et originales les unes que les autres : tourte aux asperges, crème à la hongroise, gâteau d’aubergines, parpadelles au bouillon de lièvre, pigeon à la sauge…
Mais des évènements inquiétant se produisent : le peintre Arcimboldo est enlevé, François est victime d’un odieux chantage, une fête vire à l’orgie et au massacre.
De Rome à Naples, puis Genève, le lecteur friand d’aventures et de gastronomie suit avec bonheur la quête de François, dans cette Renaissance où mort et volupté se côtoient constamment.
Editeur : Le Livre de Poche
Année d’édition : 2009
Langue : Française
Nombre de pages : 314
Avis (très) personnel :
J’aime lire (plus particulièrement le genre policier) et j’aime la nourriture. Natures mortes au Vatican réunit mes deux ingrédients préférés. Je me devais de le lire !
Tout d’abord, je dois préciser que ce livre est le deuxième qui met en scène François Savoisy, le protagoniste de notre histoire, et que je n’ai pas lu le premier. En effet, je ne m’en suis rendue compte qu’après l’avoir acheté…
La bibliothèque, par Arcimboldo

François Savoisy est le secrétaire de Bartolomeo Scappi, cuisinier personnel du pape Pie V. Il l’aide à rédiger son livre de recettes. Dès le départ, le lecteur voit que notre protagoniste est dans une situation pas très commode : un chantage effectué par un cardinal, le cardinale de Granvelle. Un rapide rappel est effectué, afin que le lecteur en sache davantage sur François (qui a fui Montpellier). Et, son passé est distillé au fur et à mesure de l’aventure.

Les descriptions (que ce soient des lieux ou des plats) sont superbes. Je me croyais vraiment à Rome, en Campani, à Genève. Les plats avaient l’air tous aussi délicieux les uns que les autres. J’ai aimé que les protagonistes que côtoie François aient réellement existé. Par exemple, le célèbre peintre Giuseppe Arcimboldo, notre cuisinier maître Scappi, etc. Ces derniers sont relatés à la fin du livre, avec un bref résumé.
Pour le côté policier, il n’est pas vraiment présent. Les premiers meurtres apparaissent vers la moitié du roman, mais n’ont pas vraiment de conséquences. Je pensais qu’à partir de là, François et ses amis allaient essayer de trouver le(s) coupable(s). Mais, je me suis complètement fourvoyée.
C’est davantage une observation de la vie de François. Vie qui est liée à la nourriture, au charnel. Je ne me suis pas vraiment attachée à ce personnage. Je l’ai trouvé parfois très énervant.
Pour ceux qui veulent du policier, il faudra repasser. Parce que leur appétit ‘noir’ ne sera pas satisfait par ce livre. Il m’a plu parce que j’aime ce qui a attrait à la nourriture ^^ Heureusement d’ailleurs, sinon je pense que je ne l’aurais pas terminé.
Ce qui est sympa, l’auteur nous donne, à la fin du livre, des adresses gourmandes pour un séjour en Italie, ainsi que des titres de livres ayant pour période, la Renaissance. Il y en a certains que je vais noter ! Et, le lecteur pourra réaliser certaines recettes de maître Scappi. Une vingtaine sont répertoriées. Il y en a d’ailleurs quelques-unes qui me font de l’oeil !
Citation1 P11 :
« Certes, maître Scappi est un véritable magicien qui sait tout des nourritures terrestres et les transforme en mets qui raviraient les anges du ciel s’ils pouvaient y goûter. »
Citation2 P54 :
« Surtout, ne vous embarrassez pas d’ivrognes : même s’ils sont les meilleurs cuisiniers du monde, ils seraient cuits eux-mêmes avant les hors-d’oeuvre. »
Citation3 P63 :
« Et si vous voulez savoir comment on fabrique le noir, sachez que c’est la couleur la plus dure et la plus longue à obtenir. Je peux vous assurer que broyer du noir pendant des heures, ce n’est pas drôle. »
Citation4 P191 :
« Il faut juste avoir le tour de main : il faut la filer, c’est-à-dire soulever et tirer la pâte plusieurs fois avec une écuelle ou un bâton. Ici on appelle ce fromage mozzarella parce qu’elle mozzata, c’est-à-dire coupée pour lui donner la bonne dimension. »

Nombre de livres lus : 16
Nombre de livres dans la PAL : 67

Harry Potter and the Prisoner of Azkaban, de J.K. Rowling

Présentation de l’éditeur :
Harry Potter, along with his best friends, Ron and Hermione, is about to start his third year at Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry. Harry can’t wait to get back to school after the summer holidays. (Who wouldn’t it if the lived with the horrible Dursleys?) But when Harry gets to Hogwarts, the atmosphere is tense. There’s an escaped mass murderer on the loose, and the sinister prison guards of Azkaban have been called in to guard the school…

Présentation de Gallimard :
Sirius Black, le dangereux criminel, qui s’est échappé de la forteresse d’Azkaban, recherche Harry Potter. C’est donc sous bonne garde que l’apprenti sorcier fait sa troisième rentrée. Au programme : des cours de divination, la fabrication d’une potion de ratatinage, le dressage des hippogriffes… Mais Harry est-il vraiment à l’abri du danger qui le menace ? Le troisième tome des aventures de Harry Potter vous emporte dans un tourbillon de surprises et d’émotions. Frissons et humour garantis !

Editeur : Bloomsbury
Année d’édition : 1999
Langue : Anglaise
Nombre de pages : 320

Avis (très) personnel :
Le troisième tome de la saga Harry Potter ! Un bonheur de le lire ^^

Le lecteur sent que l’histoire commence à devenir plus sombre. D’ailleurs, j’ai bien apprécié l’adaptation cinématographique de Alfonso Cuaron, si on fait abstraction des omissions ^^
Le livre débute de la même manière que les deux tomes précédents. Nous retrouvons Harry qui passe, comme d’habitude, ses vacances chez son oncle et sa tante ( et n’oublions le ‘gentil’ cousin Dudley !). Harry, ici, aura un petit incident ‘magique’. En effet, la sœur de son oncle, la tante Marge, vient leur rendre visite et elle déteste Harry Potter, qu’elle considère comme un petit avorton ! Elle n’arrête pas de rabaisser ses parents. N’y tenant plus, celui-ci va, involontairement, la faire gonfler ! Hé oui, comme un ballon de baudruche, rempli d’hélium. J’avais complètement oublié cette scène qui m’a bien fait rigoler, ainsi que celle du Knight Bus. Que j’adore, d’ailleurs ^^ Cependant, j’ai eu du mal à comprendre Stan (il mange ses mots, ce jeune homme !)…
J’ai aimé ce livre pour sa noirceur. Un meurtrier qui s’évade d’Azkaban, la prison la plus gardée (par des Dementors, qui plus est !). Les Dementors, justement. La rahison de la part d’un ami. Des mensonges.
Il y a également de très bons moments dans ce tome. Le lecteur en apprend un peu plus sur les parents de Harry, James et Lily Potter, sur leurs amis. Le Quidditch occupe une bonne partie du livre, ce qui ne m’a point gênée, car j’adore ce sport ! Hermione se rebelle (d’ailleurs, j’aime beaucoup le moment où Hermione gifle Draco, et lorsqu’elle quitte le cours de Divination !). Le professeur Lupin, qui est le meilleur professeur de DAKA. La carte des Maraudeurs.
J’ai également aimé la fin, la lettre que Harry reçoit de la part de son parrain, qui lui explique tout, avec cette lettre, le formulaire rempli afin qu’il puisse aller dans le village entièrement peuplé de sorciers, Hogsmeade ! En parlant de Hogsmeade, j’adorerai y aller *o* Ca a l’air tout bonnement magique ! Ces bonbons, ces plumes en sucre, ces butterbeer !! J’ai envie de tout goûter, tellement cela a l’air délicieux ! Et puis, j’ai aimé l’apparition de ce petit hibou à la toute fin (le mignon Pidwidgeon ^^).
C’est amusant, dans le tome précédent, Harry partait à l’aventure avec Ron (pour sauver sa sœur, si vous vous souvenez bien), sans Hermione, qui avait été pétrifiée. Dans ce tome-ci, il part à l’aventure uniquement avec Hermione, Ron étant cloué au lit. Chacun son tour ^^
J’ai quand même trouvé que c’était un peu long par moment (surtout au début), mais à partir du moment où Buckbeak est mis à mort, l’action s’accélère, et j’ai adoré ! Le Whomping Willow, la Cabane Hurlante, le loup-garou, le Retourneur du temps ! L’action et le suspense sont présents à tout moment.
L’auteur parsème toujours des indices, ici et là. Je trouve ça extraordinaire, cet univers qu’elle a mis en place. C’est fantastique ! Vivement la lecture du tome 4, mon préféré ^^
Citation1 P27 :
« Her great red face started to expand, her tiny eyes bugled and her mouth stretched too tightly for speech. Next second, several buttons burst from her tweed jacket and pinged off the walls – she was inflating like a monstruous baloon, her stomach bursting free of her tweed waistband, each of her fingers blowing up like a salami … »

Citation2 P60 :
« ‘I don’t go looking for trouble’, said Harry, nettled. ‘Trouble usually finds me.' »

Citation3 P143 :
« I solemnly swear that I am up to no good. »

Citation4 P265 :
« ‘We attacked a teacher … we attacked a teacher …’ Hermione whimpered, staring at the lifeless Snape with frightened eyes. ‘Oh, we’re going to be in so much trouble -‘ »

Vous pouvez trouver mes avis sur les tomes précédents :
Lecture commune avec :

Black Butler, tome 1, de Yana Toboso

Présentation de l’éditeur :
Sébastian est majordome au service de Ciel Phantomhive, héritier d’une grande famille de la noblesse anglaise. En matière d’érudition, d’éducation, d’art culinaire, rien à redire, il est parfait. Mais ne vous fiez pas à sa distinction, si vous vous en prenez à son jeune maître, vous découvrirez sa vraie nature… Ciel aurait-il signé un pacte avec le Diable… ?!

Éditeur : Dark Kana
Année d’édition : 2009
Langue : Française
Nombre de pages : 194

Avis (très) personnel :
Quand j’ai emprunté ce manga à ma nièce (oui, encore ^^), je ne connaissais pas du tout le synopsis. Je savais uniquement que cela parlait d’un majordome, celui que l’on voit en couverture.

J’ai adoré ce majordome qui sait tout faire, même lorsque les autres domestiques ont tout saccagé. Ce majordome se nomme Sebastien Michaelis. Il défend son jeune maître, Ciel Phantomhive, coûte que coûte. On aurait dit un ninja lorsqu’il se bat. Lorsqu’il devait s’occuper de la (grande) maison, il me faisait un peu penser à Tony, dans Madame est servie (on a les références qu’on peut =p). Qui fait à merveille la cuisine. Qui arrive à faire fleurir des bulbes en à peine quelques heures.

Pourquoi Ciel porte-t-il un bandeau ? Sebastian est-il un être exceptionnel ?
Ce tome répond brièvement à ces questions. J’espère que ces réponses seront plus approfondies dans les prochains tomes.
Les domestiques m’ont bien fait rigoler =D A faire tous pleins de bêtises. Je me suis même demandé pourquoi Ciel les gardait… Après être allée sur Wikipedia, j’en connais approximativement les raisons, que j’ai hâte de découvrir dans le manga.
Nous rencontrons également la jeune fiancée (et cousine) de Ciel, la marquise Elisabeth, qui ne peut s’empêcher d’enrubanner les domestiques, Sebastian, le hall d’entrée du château. Elle aime tout ce qui est mignon ^^

En conclusion, un manga bien amusant (un peu sombre aussi, vers la fin). Je suis impatiente de découvrir la suite (actuellement, 4 tomes de sortis en France).

Histoires angoissantes, d’Alfred Hitchock

Présentation de l’éditeur :

On ne peut plus angoissantes, oui, car au fil de cette vingtaine d’histoires choisies avec soin par le Maître, la mort change sans cesse de visage. Pathétique avec La petite fille qui voulait mourir, elle se fait terriblement féminine dans Le thé de l’inimitié, acharnée à la recherche du Meilleur endroit pour mourir, impitoyable pour Tous les coupables, horrifiante dans Pire qu’un cauchemar, perverse dans Je t’aime un peu, trompeuse dans L’auto-stoppeur, paraît sans détour dans Profession : tueur, se fait annoncer dans Science ou fiction, et devient expiatoire à La fin de la bataille, mais elle desserre aussi les dents du Piège et s’efface Dans le noir !


Éditeur : Le Livre de Poche

Année d’édition : 1988
Langue : Française
Nombre de pages : 318

Avis (très) personnel :

J’ai toujours voulu lire un livre d’un grand monsieur. J’ai nommé monsieur Alfred Hitchcock ! Et quand j’ai trouvé Histoires angoissantes, dans une boutique de livres d’occasion, à 1€, je n’allais pas me priver.

Ce livre est un recueil d’une vingtaine de petites histoires, supposées angoissantes. Je dis ‘supposées’, car je ne les ai pas du tout trouvées effrayantes (suis-je devenue anormale ?)… Par ailleurs, j’ai lu la première partie du livre, il y a deçà quelques mois, et les nouvelles ne m’ont pas laissé un souvenir impérissable… Il n’y a que trois histoires dont je me rappelle. Par exemple :
  • Je t’aime un peu, beaucoup (même si la fin est très prévisible)
  • Dans le noir (un peu triste)
  • Le piège (qui est un peu flippant, surtout si l’on se met à la place de la vieille dame)

Hélas, comme vous le voyez, je ne suis pas très convaincue par ce livre. Je ne sais pas encore si j’en lirai d’autres (peut-être si l’occasion se présente ^^). Par contre, niveau film, il faut absolument que je regarde Psychose !


Nombre de livres lus : 15
Nombre de livres dans la PAL : 67

Société Sherlock Holmes des Dilettantes : Le signe des trois

 

Sherlock Holmes est, avec Hercule Poirot, un de mes détectives préférés. Je me suis naturellement inscrite dans cette société, créée par 3 passionnées : Matilda, Cécile et Marion.
La SSHD c’est quoi ?
Une société pour le moment uniquement présente sur internet et plus particulièrement les blogs ; les sites internet qui seraient intéressés sont bien sûr les bienvenus. Une société au service du Maître et à promouvoir son image dans le monde entier (on prendra son contrôle et établirons une dictature plus tard).


Comment ?
– En organisant une sorte de challenge perpétuel. Pas de limite de temps, ni de liste fixe de livres à lire. Aucune contrainte sauf qu’à chaque publication de billets holmésiens (donc en rapport de près ou de loin avec Sherlock Holmes) ((pastiches, canon original de Conan Doyle, BD, films, séries)) il faudra apposer le logo de la Société (soit le grand logo, soit le bandeau fait par Cécile !).


 

Vous trouverez, à gauche, un sommaire spécifique à Sherlock Holmes, ainsi qu’une catégorie « Le signe des trois : La Société Sherlock Holmes des Dilettantes« .

Pour le moment, je n’ai pas encore de billets avec ce personnage. Je vais peut-être replonger dans les livres que j’ai déjà lus ^^

Les Contes de Beedle le Barde, de J.K. Rowling

Présentation de l’éditeur :

Les Contes de Beedle le Barde sont les cinq contes de fées qui bercent l’enfance des jeunes sorciers. Chacun de ces contes a sa magie particulière qui enchantera les lecteurs et les fera tour à tour rire ou frissonner.

Les commentaires passionnants et malicieux du professeur Albus Dumbledore qui accompagnent chaque récit seront appréciés des sorciers comme des Moldus. Le professeur y donne de nombreuses clefs et dévoile, par la même occasion, maint détail de la vie de Poudlard.

Un ouvrage magique à garder comme un trésor, enrichi des illustrations originales de J.K. Rowling.


Éditeur : Gallimard

Année d’édition : 2008
Langue : Française
Nombre de pages : 128

Avis (très) personnel :

J’ai enfin réussi à me jeter à l’eau. J’avais ce livre depuis sa sortie, et je n’avais pas osé l’ouvrir. Peur d’être déçue peut-être… Mais, comme il est petit et que je dois faire baisser ma PAL, j’ai sauté sur l’occasion.
Ce recueil est composé de cinq petits contes :
  • Le Sorcier et la Marmite Sauteuse
  • La Fontaine de la Bonne Fortune
  • Le Sorcier au Cœur Velu
  • Babbity Lapina et le Souche qui Gloussait
  • Le Conte des Trois Frères
Tout d’abord, j’ai beaucoup aimé ce qu’a écrit J.K. Rowling au début du livre, l’introduction. Comme si l’univers magique, qu’elle a créé, existait (ce serait tellement bien, si cela était vrai ^^).
J’ai trouvé intéressant de connaître (et de lire) les contes qui ont bercé tous les sorciers et sorcières. A chaque fin de conte, le lecteur peut voir les commentaires d’Albus Dumbledore. Cela nous rappelle certaines informations qui nous ont été données lors des sept tomes de Harry Potter. Par ailleurs, les illustrations sont très agréables à regarder. J.K. Rowling a un joli coup de crayon !
J’ai été cependant déçue par la longueur des contes. Trop courte ! Surtout celle du dernier conte, Le Conte des Trois Frères. Je pensais y découvrir davantage de choses sur ces frères (du moins, plus que dans le dernier tome de la série !). Et, ce n’est pas le cas… Je suis restée sur ma faim !
Bien qu’un peu déçue, je ne regrette pas mon achat ! Je suis une fan inconditionnelle de cette saga ! ❤
Citation P14 :
« Ceux qui connaissent bien l’histoire de la récente guerre des sorciers (pour avoir lu, par exemple, les sept volumes de la vie de Harry Potter) sauront que le professeur Dumbledore révèle sur le dernier conte de ce livre un peu moins de choses qu’il n’en sait – ou n’en soupçonne. »

Nombre de livres lus : 14
Nombre de livres dans ma PAL : 68

Ensemble, c’est tout, d’Anna Gavalda

Présentation de l’éditeur :

« Et puis, qu’est-ce que ça veut dire, différent ? C’est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes… Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est leur connerie, pas leurs différences… »
Camille dessine. Dessinait plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisiner de son état, dont l’existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mère. Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l’idée de mourir loin de son jardin.
Ces quatre-là n’auraient jamais dû se rencontrer. Trop perdus, trops seuls, trop cabossés… Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l’amour – appelez ça comme vous voulez -, va se charger de les bousculer un peu.
Leur histoire, c’est la théorie des dominos, mais à l’envers. Au lieu de se faire tomber, ils s’aident à se relever.


Editeur : J’ai Lu

Année d’édition : 2005
Langue : Française
Nombre de pages : 574

Avis (très) personnel :

J’avais déjà lu Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part, du même auteur. Et j’avais bien aimé. Lorsque j’ai vu qu’il y avait un film du même nom, je me suis dit qu’il faudrait que je lise le bouquin. Puis, des jours, des semaines, des mois passés, je ne l’avais toujours pas emprunté, ni acheté. Heureusement, ma meilleure amie l’avait enfin acheté et lu, en me disant qu’il était mieux que le dernier que j’avais lu.

C’est donc l’histoire de quatre personnes, qui vont devoir cohabiter ensemble. Quatre personnes que la vie n’a pas gâtées. Qui vont s’entraider. Qui vont réussir à se relever, malgré leurs cicatrices. Nous avons Camille Fauque, jeune femme de 27 ans, qui vivait dans une sorte de chambre de bonne dans un quartier très chic. Philibert Marquet de Durbellière, un aristocrate, qui doit veiller sur un appartement familial, dans le même quartier que Camille. Et, Franck Lestaffier, cuisinier, hébergé par Philibert et qui doit s’occuper de sa grand-mère Paulette. A cause de quelques fâcheux évènements, Philibert va héberger Camille, chez lui. La cohabitation entre ces trois personnes s’avère difficile au début. Surtout que Franck est une grande gueule !

Le début de la lecture a été assez laborieux. Très long. Il faut dire que je n’ai que 30min de trajet au total dans une journée. Je n’arrivais donc pas à me plonger dans l’histoire. Puis, il y a eu un déclic. C’était le moment où Camille déjeune avec sa mère. Enfin, c’est plutôt l’après-déjeuner qui m’a intéressée : lorsqu’elle commence à dessiner. En effet, j’adore dessiner et j’aurai aimé voir les dessins qu’elle a réalisés. Ça avait l’air très joli.
Je ne m’identifie pas forcément aux protagonistes, mais je les trouve très attachants (car non parfaits, justement !). Et, puis l’auteur les a croqués de manière très réaliste, je trouve. Ils ont tous les trois des blessures morales. Et ils vont surmonter ces dernières grâce leur aide mutuelle, ainsi que l’aide de Paulette, la mémé de Franck, qui est adorable comme tout (bien qu’un peu capricieuse parfois, j’aime quand Camille la remet en place ^^). Le lecteur les voit reprendre goût à la vie. Ils deviennent (enfin) vivants !
Je pensais au début qu’il y aurait un triangle amoureux. Cependant, après réflexion, tant mieux qu’il n’y en ait pas. Cela aurait peut-être rompu le charme de ce livre.
La lecture a été très facile (sauf les cinquante premières pages, où il n’y avait pas d’action). Je pense que le découpage des chapitres y est pour beaucoup (les chapitres sont parfois très courts, par exemple, une page).
J’ai aimé la toute fin qui a lieu à la gare. C’était touchant et très mignon ! Concernant l’épilogue, c’était sympa à lire, mais, même sans, l’histoire était déjà très bien.

Un livre que je conseille ! Sauf pour ceux qui ne préfèrent que les livres avec pleins de suspense, et d’action ^^
Merci ma coupine pour me l’avoir prêté 😉

Citation1 P143 :

« L’enfance en mois, elle se trouva dans le même état que Marcel Proust : « attentive à ce qui se passait d’extraordinaire en elle » et termina son assiette religieusement, en fermant les yeux entre chaque cuillerée. »


Citation2 P185 :

« Alors qu’elle était dans la salle de bains, elle l’entendis qui donnait des grands coup sur la porte de la chambre de Philibert et qui gueulait:
– « Allez, mon gars ! C’est bon. Elle s’est pas envolée ! Tu peux aller pisser maintenant ! » »


Citation3 P203 :

« Elle appuya sur le bouton de la télécommande et ferma les yeux : elle était au paradis…
Seule, dans cet appartement immense, un verre de nectar à la main, elle entendait la voix des anges. »
Nombre de livres lus : 13
Nombre de livres dans la PAL : 69 (encore ! Je ne comprends même pas pourquoi…)

Death Note, tome 1, de Tsugumi Ohba et Takeshi Obata


Présentation de l’éditeur :
Light Yagami ramasse un étrange carnet oublié dans la cour de son lycée. Selon les instructions du carnet, la personne dont le nom est écrit dans les pages du Death Note mourra dans les 40 secondes !! Quelques jours plus tard, Light fait la connaissance de l’ancien propriétaire du carnet : Ryûk, un dieu de la mort ! Poussé par l’ennui, il a fait entrer le carnet sur terre. Ryûk découvrira alors que Light a déjà commencé à remplir son carnet ?
Editeur : Dark Kana
Année d’édition : 2007
Langue : Française
Nombre de pages : 210
Avis (très) personnel :
Voilà un manga, que beaucoup de personnes (dont des livraddictien(ne)s) m’ont conseillé !
Alors, profitant du fait que mes nièces en faisaient la collection, je leur ai emprunté les trois premiers tomes, pensant (à tort) que cela suffirait pour leurs trois semaines d’absences… Que nenni ! J’entame le troisième tome et je sais qu’il me faudra la suite ! Accro que je suis, accro que je suis devenue !
Dans ce premier tome, le contexte est mis en place. Ryûk, dieu de la mort, a laissé tomber le Death Note (cahier de la mort) dans le monde des humains. Carnet qui permet de tuer n’importe quelle personne, dont le nom est inscrit dans ce dernier, et ce dans les 40 secondes (sauf exceptions). Ce sera Light Yagami qui en héritera. Grâce à ce carnet de la mort, il pourra purifier le monde des criminels/meurtriers, toute personne ayant entravé à la justice. Dès sa découverte du Death Note et la visite de Ryûk, passent 5 jours. Durant ces 5 jours, Light a tué une centaine de criminels (j’ai cru, initialement, que c’étaient ses camarades de classe, pour qu’il soit premier… Raison très futile !). Cette tuerie commence à interpeler les policiers, Interpol. A partir de ce moment (qui arrive assez vite), L, mystérieux enquêteur va apparaître. Qui est-il réellement ? Sera-t-il aussi intelligent (voire plus) que Light ? Tout cela m’intrigue fortement, même si, en lisant le tome 2, nous avons quelques réponses.
Les raisons de tuer de Light ont l’air noble. Mais, je ne sais pas si une personne a le droit de vie et de mort sur une autre… Même si ce dernier est un meurtrier. De plus, Light a vraiment l’intention de devenir le dieu de ce monde !
Je trouve les dessins supers (mais bon, j’avais déjà aimé Bakuman, des mêmes scénariste et dessinateur), même si le dieu a l’air très … impassible (toujours ce sourire aux lèvres, qui ne bouge pas).
J’ai hâte de lire la suite. Vivement que mes nièces reviennent !


Chiisana Koi No Uta

Je viens de me faire taguer par Lyra, la petite vilaine !

Donc, voici un petit tag musical, qui consiste à prendre mon ipod (celui que vous voyez juste au-dessus ^^), de le mettre en mode aléatoire, et de cliquer sur ‘Suivant’ pour répondre à chaque question.
Allez, c’est parti !
Si quelqu’un vous dit « est-ce que c’est bien ? », vous dites ?
Sirius Fire, de Patrick Boyle (BO du film HP 4)
Euh …. Si je réponds ça, je vais être prise pour une dingue =D
Comment vous décririez-vous ?
Hanabi, de Mr Children
Ça signifie Feu d’artifice en japonais. Je ne suis pas aussi joyeuse et colorée qu’un feu d’artifice ^^ (sauf lorsque j’ai bu une goutte d’alcool ^^)
Qu’est-ce que vous aimez chez un garçon ?
Honey Cheese (OST du drama Proposal Daisakusen)
Je ne sais pas exactement à quoi cela pourrait correspondre chez un garçon, mais non ^^
Comment vous sentez-vous maintenant ?
Happy life, de Mongol800
Ah, enfin une réponse correcte (je commençais à m’inquiéter =)). Oui, c’est exactement ce sentiment. En plus, je suis en week-end depuis hier soir !
Quel est votre but dans la vie ?
Apparition on the train, de John Williams (BO du film HP3)
Si je me souviens bien, c’est le moment où les dementors apparaissent. Non, non, je vous rassure, mon but n’est pas de déprimer/désespérer les gens. Je ne suis pas si méchante que ça (quoiqu’en dise Maxoo).
Que pensent vos amis de vous ?
Sadistic Dance, de Hangry & Angry
Sans commentaire ^^
Que pensent vos parents de vous ?
Ame no Hankagai, de An Cafe
Le quartier des esprits (si je me trompe, dites-le moi les nipponphones ^^). Alors, mes parents ont beau beaucoup aimé, je ne suis pas sûre qu’ils me considèrent comme un esprit. Je dis ça, je dis rien !
A quoi pensez-vous souvent ?
Ikemen Boogie (OST du drama Hanazachari Kimitachi e)
Ça veut dire les beaux mecs. Alors, oui mais non. J’ai M. Erato maintenant ! Rôoooh….
Qu’est-ce que 1+1 ?
Rock the LM.C, de LM.C
-_-‘
Quelle est l’histoire de votre vie ?
Kakusei Heroism – The Hero without a name, de An Cafe
Je suis découverte, oui je suis une héroïne, telle Superman (mais en fille !) XD
Que pensez-vous quand vous voyez la personne que vous aimez ?
Eye Contact, de Polysics
J’adore la regarder dans les yeux. Surtout mon chéri, j’adore la couleur de ses yeux ^^
Que jouera-t-on à vos funérailles ?
Nephilim, de Abingdon Boys School
Pourquoi pas…
Quel est votre hobby ?
Voldemort, de Patrick Doyle (Bo du film HP4)
Ça veut tout dire !
Quelle est votre plus grande peur ?
Wish, de Mongol800
Ce serait plutôt le contraire.
Quel est votre plus grand secret ?
Kachou Fuugetsu, de Remiororen
Oui, j’aime la nature, mais ce n’est pas un secret Oo
Que pensez-vous de vos amis ?
Howling Inch Up, de Abingdon Boys School
ôo
Quelle est la chanson de votre vie ?
Nervous breakdown, de Abingdon Boys School
Héhéhé, non, je ne suis pas une maniaco-dépressive !
Qu’est-ce qui vous décrit ?
Sugar (OST du drama Proposal Daisakusen)
J’aime beaucoup le sucré, et j’adore faire des pâtisseries ^^
Quel titre allez-vous donner à ce billet ?
Chiisana Koi No Uta, de Mongol800
Une de mes chansons préférées ! Cool
Bon, maintenant je tague … tachas, melleaurel, karline05, Metyuro ^^ A vous de jouer les filles !