Signe particulier :
Mauvais souvenir :
Défaut :
Film « Bonne Mine » :
Souvenir d’enfance :
Signe particulier :
Mauvais souvenir :
Défaut :
Film « Bonne Mine » :
Souvenir d’enfance :
Éditeur : Pocket
Année d’édition : 2008
Langue : Française
Nombre de pages : 442
Avis (très) personnel :
Citation1 P118 :
Citation2 P196 :
Citation1 P46 :
Citation2 P105 :
Editeur : Librio
Année d’édition : 1997
Langue : Française
Nombre de pages : 154
Avis (très) personnel :
Citation P143 :
Editeur : Casterman
Année d’édition : 2005
Langue : Française
Nombre de pages : 198
Avis (très) personnel :
Pour ceux qui me connaissent doivent être assez étonnés, car j’ai déjà essayé de lire du Tolkien. Et je n’y suis pas du tout arrivée… C’était le premier tome de la trilogie Le Seigneur des Anneaux. Mais, j’ai entendu tellement bien de cet auteur que je ne voulais pas rester sur un échec. Je vais donc participer au challenge Hobbit (c’est-à-dire lire un livre de Tolkien), et lire Bilbo the Hobbit.
J’ai jusqu’à décembre 2011 pour le lire, c’est raisonnable comme délai je pense ! Il ne me reste plus qu’à l’emprunter ou l’acheter ^^
Présentation de l’éditeur Gallimard :
Editeur : Bloomsbury
Année d’édition : 2000
Langue : Anglaise
Nombre de pages : 332
Avis (très) personnel :
J’ai éprouvé un réel plaisir de découvrir le monde magique à travers les yeux d’Harry Potter, petit orphelin élevé par une tante et un oncle complètement obtus, et un cousin exécrable ! J’étais aussi émerveillée que lui à la vue de cet univers féerique. Emerveillement par rapport à la magie, à Diagon Alley (j’étais littéralement subjuguée par la librairie Flourish and Blott !), à sa baguette magique (grâce à qui il pourra faire de la magie !), au Quidditch et bien sûr à Hogwarts !
Hogwarts, sa première vraie maison, sa première vraie famille (les Dursley ne comptant pas). Harry y apprendra les bases de la magie, passera un merveilleux Noël, intègrera l’équipe de Quidditch des Gryffondors (le plus jeune joueur depuis un siècle !!), connaîtra une amitié durable avec Hermione et Ron.
Bien sûr, Harry vivra une dangereuse aventure durant cette première année. Mais chhht je ne dirais rien pour les personnes qui ne l’auraient pas encore lu (Y’en a-t-il encore ? ^^). En tout cas, j’étais très émue à la fin lors de la House Cup (Je ne me souviens plus du nom français…).
J’ai aimé que J.K. Rowling ait commencé à semer quelques indices pour les tomes suivants – entre autre une légère insinuation sur Snape et l’occlumancie. De plus, j’ai trouvé son écriture très fluide, bien que je butais sur la signification de certains mots anglais… Mais dans l’ensemble, c’était très compréhensible.
Par ailleurs, les phrases étaient écrites de telle sorte que je ressentais l’urgence, la rapidité de la situation (comme lors du « duel » avec Malfoy).
J’aimerai qu’un tel univers existe, que Hogwarts existe (oui, je sais j’ai largement dépassé l’âge d’y entrer, mais c’est tellement bon de rêver)… Je vais donc me contenter des livres, de mes objets HP (^^) et du futur parc d’attraction.
J’étais triste à l’idée de terminer ce tome, mais heureusement qu’il y en a d’autres^^ Je serai vraiment triste lorsque j’arriverai au dernier…
Un avis plus positif chez Matilda !
Présentation de l’éditeur :
Editeur : Phébus
Année d’édition : 2010
Langue : Française
Nombre de pages : 308
Avis (très) personnel :
L’histoire est décomposée en chapitres assez courts. Au tout début, j’ai trouvé la constitution des chapitres étranges. En effet, nous voyons le point de vue de Charlotte de Montbrun(en mode « je »), et parfois le point de vue de quelqu’un d’extérieur. Mais, nous en comprenons les raisons dans la deuxième partie du livre.
Nous suivons donc l’histoire de Charlotte de Montbrun, jeune fille de la bourgeoisie très moderne. Elle va assister à divers accidents mortels ou non, et se mettre à enquêter dessus. C’est grâce à Internet et au mystérieux et virtuel Roland, qu’elle va réussir à découvrir des rapports entre les victimes.
J’ai bien aimé que ce soit une jeune fille qui se met dans la peau d’un détective amateur. Cela change des thrillers que je lis et où les personnages principaux sont souvent des inspecteurs, anthropologues, etc. Dans ce livre, la modernité est de mise. Internet, surtout. « Google », « Firefox », « Mac », « iPhone », etc. Charlotte a l’air d’être une jeune fille très seule, qui se réfugie dans ce monde virtuel. Elle est « accro » au Net, à son blog, à ses amis virtuels.
Dans la deuxième partie du roman, les modes opératoires des crimes sont expliqués. Et j’avoue que certains sont bien détaillés… Voire trop bien détaillés ! Un peu ragoûtant !
Lorsque l’identité du coupable a été dévoilée, j’étais stupéfaite ! Les yeux ronds comme des flans. Je ne m’attendais pas vraiment pas à cette personne. De plus, à la toute fin, le titre du du livre prend tout son sens.
J’ai vraiment aimé ce livre. J’ai, au début, eu du mal à entrer dans l’histoire. Et puis, ça allait tout seul. Comme dit précédemment, les chapitres sont courts, donc très rapides à lire. De plus, le thème tourne autour de la Toile, donc assez compréhensible. La retranscription de Charlotte lorsqu’elle est complètement soûle est très bien faite, je trouve ^^ J’ai apprécié également les paragraphes sur l’Opéra Garnier, l’admiration du papa de Charlotte pour Napoléon, par exemple. J’ai appris quelques petites choses : qu’il y avait deux ruches sur le toit de l’Opéra Garnier !
Néanmoins, le dernier chapitre m’a laissée perplexe… Je me pose encore des questions…
Citation P14 :