Gone, tome 1, de Michael Grant

Présentation de l’éditeur :

Everyone except for the young. Teens. Middle schoolers. Toddlers. But not a single adult. No teachers, no cops, no doctors, no parents. Gone, too, are the phones, internet, and television. There is no way to get help.

Hunger threatens. Bullies rule. A sinister creature lurks. Animals are mutating. And the teens themselves are changing, developing new talents-unimaginable, dangerous, deadly powers-that grow stronger by the day.
It’s a terrifying new world. Sides are being chosen and war is imminent.
The first in a breathtaking saga about teens battling each other and their darkest selves, Gone is a page-turning thriller that will make you look at the world in a whole new way.

Présentation de l’éditeur Pocket Jeunesse :

Imaginez. En plein cours d’histoire, ils sont en train de prendre des notes quand tout à coup… plus de professeur ! Affolés, ils sortent de classe et se rendent compte qu’il n’y a plus aucun adulte. Comme s’ils s’étaient évaporés. En fait, tous les êtres humains de plus de 15 ans ont disparu. Plus incroyable encore, ceux qui restent développent des super-pouvoirs mais ils ne parviennent pas encore à les maîtriser.Cette aventure extraordinaire est arrivée à Sam, 14 ans, et à tous les enfants de la petite ville californienne de Perdido. Passé la première période d’euphorie, les enfants doivent maintenant s’organiser pour survivre. Qui va s’occuper des bébés et des malades ? Comment trouver de la nourriture ? Autant de questions vitales à résoudre en urgence ! Sam devient malgré lui l’un des responsables de l’organisation mais, bien vite, il va devoir affronter d’autres chefs de bandes, aux idées beaucoup plus sombres.

 

Éditeur : Harper Teen
Année d’édition : 2009
Langue : Américaine
Nombre de pages : 558

 

Avis (très) personnel :

Un beau jour, à Perdido Beach, toutes les personnes ayant 15 ans ou plus ont soudainement disparu. Disparu en un claquement de doigt. Ces enfants sans autorité vont être amenés à faire des choix. Mais attention, pour compliquer le tout, certains d’entre eux ont des pouvoirs : jeter des boules de feux (je vois ça à la Sangoku, version couleur Avada Kedavra), se téléporter, courir très vite, soigner toutes les blessures. Non seulement ces derniers mutent, mais les animaux aussi. Et pas forcément pour le plus grand bien des êtres humains. Dans cette zone de non-vieux (FAYZ, soit Fallout Alley Youth Zone), il y a deux clans, que ces enfants devront choisir. D’un côté Sam, celui qui représenterait le Bien, et de l’autre nous avons Caine, le méchant. Bien que ce soit déterminé, il y a quand même des moments où l’on sent que Caine n’est pas si méchant que ça.

Chaque chapitre débute par un compte à rebours, dont je n’ai réellement compris le sens que bien plus tard. Je pense cependant qu’il est possible de le savoir plus tôt. Les points de vue sont multiples, peut-être est-ce le seul reproche que je pourrais faire. En effet, cette multitude implique également de nombreux personnages, ce qui fait que je me perdais entre Albert, Andrew, Panda, etc. Je ne savais plus qui était qui, surtout au niveau des personnages secondaires.

Le récit est tel que le lecteur n’a pas l’impression d’être en présence d’adolescents, d’enfants ou de tout-petits. Leurs actions (bonnes et mauvaises) font que leur âge est mis au placard. Ils ont certes parfois des réactions d’adolescents, mais ce sont des moments très rares.

Une carte est dessinée au tout début du livre, indiquant la surface du FAYZ, la position des divers lieux (écoles, centrale nucléaire, désert…), permettant ainsi de savoir où se situe l’histoire. Cependant, je ne pensais pas tout le temps à aller au début du livre pour examiner cette carte, c’est une gymnastique qui casse mon rythme de lecture.

 

Ce premier tome permet de mettre en place l’histoire, les personnages, et ne se termine pas sur un cliffhanger, donc même si j’ai hâte de lire la suite (il reste malgré tout pas mal de questions en suspens, que je dévoilerai pas ici, de peur de vous spoiler et qui, j’espère, seront résolues par la suite), cela peut attendre encore un peu ^^

 

Citations :

« Scared people did scary things sometimes, even kids. Sam knew that from personal experience. Fear could be dangerous. Fear could get people hurt. And there was nothing but fear running crazy through the school. »

 

« ‘I’ve seen heart surgery performed on TV, too, ‘ Astrid said. ‘That doesn’t mean I’m going to try it.’
Quinn said, ‘You watch heart surgery ont TV? That explains a lot, Astrid.' »


15 responses to “Gone, tome 1, de Michael Grant

Répondre à morgouille Annuler la réponse.