Chocolat, de Joanne Harris


Présentation de l’éditeur :
Lansquenet est un petit village au cœur de la France où la vie s’écoule, paisible et immuable. L’arrivée d’une mystérieuse jeune femme, Vianne Rocher, et de sa fille, Anouk, va tout bouleverser. D’autant qu’elle s’avise d’ouvrir une confiserie juste en face de l’église, la veille du carême !
Dans sa boutique, Vianne propose d’irrésistibles sucreries. Et beaucoup succombent à son charme et à ses friandises… Car le chocolat de Vianne soigne les espoirs perdus et réveille des sentiments inattendus. Tout cela n’est pas du goût du comte de Reynaud et du curé, convaincus tous deux que les douceurs de Vianne menacent l’ordre et la moralité… En tout cas, la guerre est déclarée. Deux camps vont s’affronter : les partisans des promesses célestes et ceux des délices terrestres.

Editeur : J’ai Lu
Année d’édition : 2002
Langue : Française
Nombre de pages : 382

Avis (très) personnel :
Le titre donne le thème du livre : le chocolat. Nous allons observer la vie et les habitudes des villageois de Lansquenet-sous-Tannes, qui se trouvent bouleversés avec l’arrivée d’une toute nouvelle venue, Vianne Rocher et de sa petite fille Anouk. Elles vont ouvrir un magasin de chocolats, et apporter un peu de bonheur (ou pas) à ces personnes.

Le roman débute le jour du Carnaval et se termine le jour de Pâques. 2 mois d’histoire, qui peuvent sembler bien longs. En effet, j’avais l’impression que cela durait plus longtemps que ça. Mais, attention, je n’ai pas dit que ce n’était pas bien. Le fait de voir les moeurs évoluer jour après jour est intéressant, surtout que nous avons à la fois le point de vue de Vianne, et du prêtre, qui la considère comme le Diable personnifié.
Les différents arômes du chocolat embaument ce livre. Le lecteur est prompt à saliver, à la lecture des descriptions du travail du chocolat, de la décoration des vitrines, du bon chocolat chaud et des diverses confiseries. Quant aux habitants de Lansquenet-sous-Tannes, ils sont tous différents, ils ont évolué pour la plupart depuis les premières lignes du livre, en partie grâce à Vianne. Le prêtre, Caroline et Paul m’étaient insupportables. Surtout le prêtre dirais-je. Il m’a agacée au plus haut point, même si l’on sent que ses actions sont faites en fonction du « bien-être » de ses paroissiens.

Je me demande comment le film a été tourné… Pour ceux qui l’auraient vu, est-il aussi bien que le roman ? Je pense que j’y jetterai un oeil, plus tard, lorsque j’aurai bien digéré l’histoire. Et, puis, de ce que j’ai compris, il y aurait un tome 2 (Les Rochers de Montmartre).


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