Archives quotidiennes : 4 février 2012

The Fault in our Stars, de John Green


Présentation de l’éditeur :
Despite the tumor-shrinking medical miracle that has bought her a few years, Hazel has never been anything but terminal, her final chapter inscribed upon diagnosis. But when a gorgeous plot twist named Augustus Waters suddenly appears at Cancer Kid Support Group, Hazel’s story is about to be completely rewritten.

Editeur : Dutton
Année d’édition : 2012
Langue : Américain
Nombre de pages : 336

Avis (très) personnel :
Lyra avait parlé de ce livre un peu autour d’elle. Un peu ? Non, je dirais plutôt que c’était de la propagande. Elle en faisait la promotion partout ! Contrairement à Miss Spooky Muffin, elle ne m’a pas menacée. Mais, elle m’a intriguée avec cette phrase : il est super, mais je ne te dirai rien dessus, et l’émotion qui a surgi lors de sa lecture.

C’est l’histoire entre une jeune fille et une jeune homme. C’est l’histoire d’Hazel Grace et d’Augustus. L’histoire de deux personnes hors du commun. Ce sont des réflexions sur la mort, la vie, les amis et l’amour.
Le lecteur suit Hazel depuis sa rencontre avec lui, lors d’une réunion de soutien entre cancéreux, jusqu’à la fin du livre (non, non, je ne spoilerai pas).
Hazel est au stade terminal de son cancer des poumons, maintenue en vie grâce Phalanxifor, un médicament. Elle se sent concernée par sa maladie, sur le devenir de ses parents lorsqu’elle mourra. Mais, elle n’en parle pas toujours comme quelque chose de triste. Augustus.
Quant à Augustus (quel nom, franchement !), il était d’osteosarcoma (nom fr?), et a dû être amputé de sa jambe droite. C’est un jeune homme qui a tout pour lui, on en tomberait presque amoureuse.

Ca a l’air bien triste, non ?
Oui, bien sûr que ça l’est. Surtout vers la fin, j’avais la gorge nouée, presque les yeux brouillés, mais, il y a également des instants qui m’ont sourire. Et puis, cela fait réfléchir aussi. Je confirme, John Green a une superbe écriture. Ce roman se lit de manière fluide, et surtout à chaque fin de chapitre, j’avais envie de continuer, de lire la suite. Mis à part quelques expressions (merci à mes traductrices), je n’ai pas eu de difficultés à le lire (et ça, c’est un gros plus !).
Il y a quand même un petit hic. J’ai trouvé que les 5 derniers chapitres n’étaient si intéressants que ça, même si, la toute toute fin est bien. Mais, on peut dire qu’ils étaient superflus.

Au final, un livre à lire ! Et si vous n’êtes toujours pas convaincus, allez par ici : Lyra Sullyvan, Miss Spooky Muffin.